Azurya
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Azurya

Serveur RP Linéage II
 
AccueilDernières imagesS'enregistrerConnexion
Serveurs
Le Deal du moment :
LEGO Icons 10331 – Le martin-pêcheur
Voir le deal
35 €

 

 [BG Elfe] Saywor Ril'ryn

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Saywor

Saywor


Messages : 2
Date d'inscription : 03/04/2009
Age : 37

[BG Elfe] Saywor Ril'ryn Empty
MessageSujet: [BG Elfe] Saywor Ril'ryn   [BG Elfe] Saywor Ril'ryn Icon_minitimeJeu 9 Avr - 15:56

Sorti d’un bâtiment, sombre et délabré, une ruelle plus loin il jette a nouveau un coup d’œil sur le bout de feuille qu’il tiens entre ses doigts, d’un regard visiblement froid dénuée de toute émotion.

« Agent : A.36
Pseudo de mission : Saywor Ril’ryn.
Nom : Inconnu.
Prénom : Inconnu.
Age : 168 années.
Sexe : Masculin.
Race : Elfique
Origine : Quartier pauvre Runnien.
Formation : 25 ans de formation au Monastère du silence.
Famille : Inconnue où décédée.
Affectation : Infiltration, renseignement.

Couverture officiel :

Né il y à 121 printemps de cela, Saywor est issus d’une famille noble des quartiers riche de Giran. Sa mère Valeria Ril’ryn, honorable couturière de mode à percer le milieu malgré le faite d’être une femme, avec des revenus plus que confortable, elle reste néanmoins très prises par son travail, qui ne lui laisse que très peu de temps libre pour s’occuper de sa famille.

Son père, Iratluin Ril’ryn directeur d’une entreprise familiale, spécialisé dans l’import/export réussis a faire décoller la renommé de cette même entreprise en exportant jusqu’au royaume d’Innadril, ce qui fit sa fortune ainsi que celle de sa famille. Comme tout à un prix, il ne voit sont fils que très peu dans l’année, étant néanmoins toujours la financièrement lorsque Saywor en à besoin.

Saywor, jeune aventurier de 19 ans, avide de connaissance et de découvrir ne s’intéresse que très peu au affaire de son père, préférant une vie de jeune chasseur de trésors. Il fit ses études à la prestigieuse académie Giranienne, en médecine, étude qu’il arrêta au bout d’un an avec le désaccord de ses parents pour voyager un peu partout autour d’Azurya.
Coureur de jupon invertébré il est très séducteur ne s’engageant que très rarement dans une relation sérieuse. »



Son regard restant figé néanmoins sur le mot famille, alors qu’il caressait lentement les lettres de ce mot, passant près d’une torche de la ville, il laissa s’envoler la lettre la laissant se mourir contre les flamme.
Encore un ramassis de foutaise…Encore et encore…il avait tué trop de personne trop de personne inutilement pour une cause en laquelle il ne croyait pas….plus…
Son esprit se mettant à divaguer alors que des souvenirs remontent à la surface.



Une voix sembla s’élevé au dessus de la petite population des bas quartiers Runnien.

-De par le décret qui viens d’être adopter a l’unanimité par le conseil, les habitants sont prié de quitté les lieux sans préavis pour la futur construction d’un bâtiment administratif, et cela à effet immédiat.

Un brouhaha énorme se leva dans le petit bidon ville ou j’habitais alors, les plus optimistes pensaient a une blague, et se mirent à rire, d’autre, moins amusé tentèrent d’en savoir plus, et enfin les plus malin en voyant les gardes en armes derrière le crieur commencèrent a rassembler quelque affaires, ma mère qui me tenait par la main, se blottissait dans le dos de mon père, qui irresponsable père de famille qu’il était, avait rejoins un petit groupe de mécontent.
La population du bidon ville eurent une heure pour évacuer les lieux, la plupart n’avais pas demander leurs reste et avait fuit en dehors des remparts pour un avenir moins sûr, tandis que le petit groupe de mecontent était toujours là, n’essayant même plus de discuter, il avait confectionner des armes faites de bout de bois, et de restant de bouteille en verre.
Alors que mon père nous avais fait cacher dans une tente, pour nous ‘protéger’...sombre crétin...jamais je ne te pardonnerais pour ce qui est arrivé…

Après maint avertissement du crieur public, les manifestants continuais leurs jets de cailloux, et leurs provocations, au bout d’une autre heure passé, la charge fut sonné.
Par les effilure de la tente je pu voir une cinquantaine de garde, armée de hallebarde se jeter dans le groupe de manifestant qui ne fut que très peu efficace avec leurs bout de bois à moitié mort, la bataille s’annonçait dès le début, perdu d’avance, néanmoins le bas peuple tenait bien plus que l’on aurais cru, les gardes ayant surement sous estimé leurs détermination.

Soudain, la toile de la tente bougea, alors qu’un garde Runnien fit irruption dans la tente, dague à la main, ma mère pétrifié, me jeta, dans le coin de la tente, alors qu’elle brandissait un vulgaire bâton, pas plus épais que mon bras, ce qui n’eu comme effet que de faire rire le garde, qui se débarrassa sans mal de cette ‘arme’, pétrifié dans mon coin, je me souvient encore…il ne voulais pas sa vie, ni même la faire sortir de la tente, je ne compris pas tout de suite, alors qu’il commença avec une brutalité sans nom à retiré la maigre et usée jupe de ma mère tout en détachant sa ceinture, m’ignorant totalement. Après d’interminable minutes, de viol brutale les cries de ma mère semblait m’arraché toute raison, en pleure dans le coin de ma tente.

Mon père fit irruption dans la tente, la tête en sang, épée en main, il hurla de rage lorsqu’il découvrit la scène, se ruant sans réfléchir sur le garde, épée levé, n’ayant reçu aucun entrainement de combat mon père eu et mis, beaucoup de temps a abattre son épée, ce qui laissa tout le temps au garde de s’écarter tout en récupérant sa dague, et se fut au moment ou l’épée de mon père entra en contact avec le crane de ma mère, que la dague du garde transperça la poitrine de mon père, cette scène, j’en cauchemarde toute les nuits, les deux êtres que j’avais de plus chère disparu dans la même seconde…

Le garde accompagnant mon père au sol, alors qu’il été penché sur lui à le regarder mourir, lentement. Pris d’une fureur et d’une folie tordue, je me précipita sur le dos du garde alors que j’avais saisi un bout de verre au sol, m’accrochant au dos du garde, j’assenais à sa nuque des coups violet, mes mains ne tardant pas à devenir rouge de sang, ravageant sa nuque, même lorsqu’il fit tombé au sol, vidé de son sang, je m’assis, autours de se carnage, l’épée de mon père trônant encore sur le crane de ma mère.

Les gardes firent irruption dans la tente, alors que j’étais la, assis au milieu de la tête, les mains remplis du sang du garde ainsi que du miens, coupe par le bout de verre a force de le serre. Mon regard était vide, ma tête était vide, je semblais n’être plus qu’un corps sans âme, alors que les gardes m’amenait, où je l’ignore, mais j’y allais, à quoi bon résister après tout…Je fut emmener dans un monastère, ou je rencontras quelque jeunes, comme moi, bien que je semblais le plus jeune du groupe, du haut de mes 8 ans, on finit par m’expliquer ce que je faisait ici, qu’on s’occuperais de moi, si je me montre attentif à ce que l’ont va m’apprendre, au début je ne comprenais pas tout, mais très vite le maniement de la dague me fut acquis, les exercices de dissimulation, d’arc, et même ce qui ressemblais a de l’alchimie peu bénéfique, je ne comprenait pas pourquoi on m’apprenait tout cela, mais j’écoutait, je n’avais rien d’autre à faire…

Lors de mes 16 ans, je fut sorti de mon enfance, arraché à l’adolescence et projeté directement dans les atrocité de la vrai vie, ma mission était simple, concevoir, et administrer un poison à un certain marchand qui faisait un peu trop parler de lui… Ce fut atrocement simple, lorsque les gens ne se méfie pas et baisse leurs gardes, ils sont si vulnérable, j’avais été accepté comme son jeune élève, jusqu’au jour où il m’adopta presque, me laissant dormir chez lui, avec ma mine innocente, mais mains abimé par le travail, sans foyer, il pris pitié, ce qui signa sa fin, une fois le poison déposé au fond de son verre de lait, j’étais la, devant lui, lorsqu’il but jusqu'à la dernière gorgé, j’étais la aussi lorsqu’il se tordra de douleur avant de tomber au sol, quelque spasme violent avant sa mort, je le regardais en face, tellement froidement, la mort était devenu ma compagne, qu’on à l’habitude de voir chaque matin…et qui ne surprend plus.


Saywor..voilà donc mon nom.. à présent..

{J'apporterais sûrement quelque modification avec le temps Smile }
Revenir en haut Aller en bas
Aithe
Admin
Aithe


Messages : 1793
Date d'inscription : 07/02/2009
Age : 40

Feuille de personnage
Nom: Aithe
Race: Sombre

[BG Elfe] Saywor Ril'ryn Empty
MessageSujet: Re: [BG Elfe] Saywor Ril'ryn   [BG Elfe] Saywor Ril'ryn Icon_minitimeJeu 9 Avr - 16:04

[Validé]


PS : Coureur de jupon invertébré ==> Invétéré Wink
Revenir en haut Aller en bas
 
[BG Elfe] Saywor Ril'ryn
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» [BG Elfe] Erian
» [Elfe] Amrael
» [Elfe] Ambre
» BG ELFE] Alendel :
» [Elfe] Noah

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Azurya :: Les clans, les personnages :: Les Personnages :: Backgrounds validés-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser