Descriptif :
Nom : Tiresias
Race : Humain
Sexe : masculin
Age : 25 ans
Alignement :Chaotique mauvais
Classe : archer
Chapitre 1 : Mon enfance
Je vivais dans une toute petite ferme, avec mon père, ma mère, et mon petit frère. Notre famille était la risée des autres, car nous étions les moins riches de la région. Lorsque j’avais fini mes tache journalières, je prenais une ancienne épée qui avait servi a mon père durant la dernière guerre, et je m’entrainais a la manier. J’étais persuader qu’un jour la chance me sourirai et que je deviendrais un puissant chevalier.
Mon père venait me voir m’entrainer, et quelques fois nous croisions le fer ensemble. Comme a chaque fois, je perdais le combat. J’étais jeune, et la force de mon père me faisait perdre l’équilibre à chaque coup qu’il me porta.
Mon père savait que j’allais gâcher ma vie si je restai à la ferme avec lui, que notre famille serait toujours pauvre, et que nos vie ne serait jamais facile. Un jour, il m’emmena à l’écart et me dit que je devais partir du village dans lequel j’avais vécu toute mon enfance pour trouver un travail qui serait mieux rémunéré. Ne voulant pas abandonné ma famille, mais n’osant pas m’opposé a mon père, j’acceptai de partir, mais en promettant de leur envoyer de l’argent tout les mois.
Le lendemain, je faisais mon sac et je pris le premier chemin que je connaissais le moins. Je marchai droit devant moi, essayant de ne pas penser à l’abandon de ma famille pour ne pas avoir de regret. Je marchai jusqu'à ce que mes jambes ne puissent plus me porter.
Chapitre 2 : ma nouvelle vie
Au bout de plusieurs jours de marche, j’étais arrivé dans une nouvelle contrée que je ne connaissais que de nom, la ville ou je me trouvais s’appelai Dion. Ayant déjà de trop nombreuse fois risquer ma vie pour gagner de l’argent, je décidai d’arrêter le combat a l’épée.
J’avais envoyé la totalité de mes économies à ma famille, et n’ayant pas d’emploi, je dus me débrouiller pour survivre. J’appris l’art du tir à l’arc pour chasser les animaux de la forêt. Mes débuts furent difficiles, mais je réussi à acquérir une bonne technique, sans me vanter, je dirai même que je me débrouillai très bien. Une nouvelle vie s’offrait a moi.