Il y a quelques années, sur un continent plus éloigne, au Nord d’Azurya, dans une ville constamment ensevelie sous la neige, se marier deux jeunes gens, Barlim et Venela.
De leur union naquit le jeune Leo, Leo Darzac.
L’enfant reçut une bonne éducation, son père était archer dans la garde du village, et sa mère tenait une petite droguerie dans celui-ci.
Il partageait son temps entre ses amis et l’école, et lorsque ça n’était pas le cas, il apprenait les rudiments du maniement de l’épée ainsi que de l’arc.
Leo grandissait, ses parents prenaient de l’age, et il commençait a moins fréquenter l’école pour passer plus temps a s’entraîner.
Son maître d’arme était satisfait de ses progrès, mais il s’avait bien qu’ils n’en ferait pas un grand guerrier comme on en voit dans les livres, et Leo s’en contentait amplement, manient l’arc comme l’épée lorsque bon lui semblait pour aller chasser, il se satisfait lui-même, n’étant pas du genre a repousser ses limites.
Or son père voyait en Leo plus qu’un simple guerrier, il voulait que son fils devienne haut grade dans l’armée du Roi, mais Leo préférait les petites bagarres à la guerre, il n’aimait pas s’engager dans des luttes dans lesquelles ils ne connaissaient pas l’issu du combat.
Alors il tenait de fausse promesse à son pere, lui promettant que très prochainement il s’enrôlerait dans l’armée, et ferait ses preuves.
La famille était aux anges, un fils très prochainement chevalier, et Venela attendait un nouvel enfant.
Son père devenant de plus en plus pressant, Leo finit par céder à sa demande et il s’enrôla comme prévu dans l’armée.
Il eux l’occasion de perfectionner son entraînement ainsi que de rencontrer de nouveaux amis, la plus part d’entres eux étaient la de leurs propres chefs, mais certains s’enrôlaient car ils étaient dans le besoin ou d’autres comme Leo.
Mais quelque chose d’inattendu arriva, le Roi, pourtant si sage et age, mourut étrangement, personne ne su vraiment comment cela arriva, mais le fils du Roi ne perdit pas de temps pour prendre les reines du royaume, et celui-ci étant peut-être un peu trop belliqueux, était bien pressé de voir de quoi était capable son armée.
Plus de la moitie de l’armée s’en alla en croisade, et bien entendu, Leo en faisait partie. Personne ne savaient vraiment se qui les attendaient, ils ne savaient même pas se qu’ils allaient combattre, des Orcs, des Sombres peut-être ? Ou des humains…
Apres des semaines de marches, à travers les montagnes ensevelies de neige, ils virent enfin une grande ville… bien plus grande que la leur, somptueuse… L’architecture laissait facilement deviner que c’était une ville humaine. Epuise, ils n’avaient droit qu’à une nuit de sommeil pour se remettre sur pieds, car aux levées du jour, l’attaque serait donnée.
A bout de force, tous s’élancèrent face a l’armée adverse, la lutte s’engagea entre les deux camps, et elle s’acheva très vite, l’armée du jeune Roi étaient désempare, certains essayaient de fuir, d’autre déposaient leurs armes ainsi que leurs boucliers en signe de reddition, Leo lui aussi se rendit, il avait de la chance d’être en vie, car si il respirait encore a cet instant, ce n’est pas grâce a ses talents de guerrier, plutôt a sa peur, ayant évite de justesse un coup d’épée de son adversaire, il trébucha et c’est l’un de ses camarades qui succomba au coup.
Le Roi de se royaume inconnu pour beaucoup d’entre eux leur fit une offre, des combats de gladiateur, ils devraient s’affronter, les un les autres, dans un combat a mort, le vainqueur de chaque combat gagnait sa liberté, et une place dans l’armée.
Si il refusait, il ne leur offrait pas la mort non, simplement les douves du château a vies,
Leo opta pour la première proposition comme beaucoup, mais d’autres trop vieux, ou blesses ne se risquèrent pas a se jeux.
Il furent une cinquantaine a se livrer a cette boucherie dans l’arène, et Leo du affronter par chance un homme qu’il ne connaissait pas, car il craignait de se battre contre un ami, le combat ne fit pas long feu, l’homme déjà blesse face a Leo et apparemment malade, succomba rapidement.
le Roi leur offrit comme promis leur liberté ainsi qu’un navire pour se rendre au port le plus proche de leur ville.
Leo ne perdit pas de temps, très vite il quitta cette ville de sauvage, pourtant si somptueuse, et embarqua dans le navire comme promis.
Leo ne sait pas si cela fut volontaire ou pas, mais a son réveil, une chose est sur il n’y avait ni bateau, ni marin, ni chevalier, il était seul, a cote d’un petit village sur l’île parlante.
Il se redressa, interrogea quelques personnes sur son emplacement, il comprit vite qu’il ne retournerait pas d’ici longtemps dans sa ville natale, d’abord attriste a l’idée de penser que ses parents le croirait mort, mais aussi déçu de ne pas avoir connu son petit frère, il s’installa dans le village et prit pour habitude, de se promener les matins sur la plage ou il s’était échoue, pensant qu’un jour, quelqu’un d’autre arriverait.