Azurya Serveur RP Linéage II |
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| Chronique de Sylphide. | |
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Sylphide Hyperactif
Messages : 246 Date d'inscription : 08/02/2009 Age : 38 Localisation : ALBI
Feuille de personnage Nom: Sylphide Race: Humain
| Sujet: Chronique de Sylphide. Dim 8 Fév - 20:28 | |
| Hrp] Je poste ici tout les Rp de Sylphide, pour récapituler toute son histoire [/HRP]
La malédiction continue
Un soir, dans ça chambre Sylphide commence à se dévêtir pour aller dormir. Dans son miroir en face de lui, il aperçu une tache noire derrière son épaule. Sans inquiétude il pris un savon pour la faire disparaître. Après plusieurs essais la tâche persiste et ne part pas. Fatigué par sa journée, il décide de remettre cela a demain et d’aller dormir. Après une nuit agitée, comme toutes ces nuits d’ailleurs, il se leva et pendant sa toilette il aperçu à nouveau cette tache, mais cette fois si elle avait grossis et lui prenais toute l’épaule. Mal réveillé, comme à son habitude, il enfila sa veste et parti de chez lui. Dans la journée, lors d’un effort… à la taverne, une terrible douleur lui traversa l’épaule. Inquiet, il alla voir un médecin. Ce dernier ne pu diagnostiqué son mal. A la fin de la consultation le médecin lui dit : « Ce que vous avait la n’est pas humain » Avec un ton amusé. Cette phrase résonna dans ça tête tout au long de la journée suivante. Ce posant mainte et mainte question sur la provenance de cette tache noire. Quelques jours passe et la douleur à l’épaule persiste. Au petit matin, Sylphide se leva a son habitude, pendant ça toilette un cri de douleur se fit entendre dans tout Giran. L’homme se tenait la parti gauche de son visage, une douleur infernale lui traversa le visage, de la joue jusqu’au front. Et la devant ses yeux, la peau autour de son yeux gauche commença a devenir de plus en plus foncé, et fini par viré un noir. Après de longue minute de souffrances, l’homme se releva et vis sur son visage une large tache noire qui entoura son œil, qui lui était devenu jaune, telle une pierre précieuse, ou bien… tels l’œil d’un démon. D’un air effroyable, il prononça c’est quelques mots : « Que m’arrive t’il ? Que suis-je… ? » Après plusieurs minutes de réflexion l’homme pris un vieux masque qu’il avait en ça possession et le brisa en deux. Par la suite il le fixa sur cette tache noire, pour la cacher.
Depuis ce jours la, fréquemment, Sylphide est pris de violente douleurs, a cet yeux gauche. Son entourage a pu remarquer qu’il était plus facilement irritable et plus violent qu’avant.
L'attaque du convoi
Après l'explosion du pont, la reconstruction de celui ci et en cours de préparation, plusieurs convois de bois et de fer se dirigent vers ce pont entre Dion et Gludio.
Peu à peu les convois se mirent en route vers ce pont. Apparemment seulement peut de soldat on été déplacé pour escorter ses convois. Ce suivent les un derrière les autres, accompagné de quelques ouvriers, et de très peu de soldat.
A proximité du pont, le premier convoi arrive. Les ouvriers semblaient contents d'être enfin arrivé. Dans ce moment de joie, un cri terrifiant se fit entendre. Tout le monde retourna la tête un peu à l'arrière des premiers convois.
Sur une petit bute de terre se tenait un homme vêtu d'une cape et d'une capuche noire, avec à la main une tête humaine qui visiblement appartient a un des gardes du convoi. Les autres gardes ordonnèrent l'assaut. A ce moment la, l'homme en noir lâcha la tête qu'il tenait et d'un balancement de bras, murmura : "A l'attaque, et je ne veut pas de survivant..."
C'est alors que un douzaine d'hommes habillé eux aussi d'une cape et de capuche grise, sortirent de derrière, la bute et les arbres environnant. Les combats éclatent, le massacre est en marche... Après quelques minutes l'homme en noir affronta le capitaine du convoi. Le capitaine agonisant, entre la main de l'homme en noir, commença à questionner l'homme en noir.
"Qui...Qui êtes vous donc.....scélérat..."
L'homme en noir esquissa un petit sourire et répondit par un geste. Il leva légèrement la tête pour laissé entre voir un peu de son visage. Le visage du capitaine commença par afficher une expression d'effrois.
"Ma...mais...vous êtes...."
A ce moment la, la main de l'homme en noir qui entouré la gorge du capitaine, commença a devenir rouge braise. Dans une hurlement de douleur terrible, le capitaine n'eu pas le temps de finir ça phrase. C'est alors qu'il tomba au sol les yeux carbonisé, et la peau de coup a vif.
Après cela, l'homme en noir, ordonna à ses hommes de laisser en vie quelques ouvriers. Une fois le carnage terminé, seulement une poignée d'hommes été encore en vie. Les assassins leurs ordonna de mettre feu au bois et d'envoyer tout le fer dans le fleuve. Une fois la tache accomplie, les hommes furent rassemblé et exécuté.
Tout au long de la route qui mené à Dion, des cadavres en guise de pavé, était ainsi allongé au sol. La cargaison de bois fut brûlé et le fer englouti au fond du fleuve.
Une fois cela terminé, les hommes vêtus de gris et l'homme vêtu de noir se retirent dans l'ombre de la nuit qui commencé à tomber...
La guerrison du mal
De jours en jours, l'homme Sylphide se fait gagner par un étrange mal qui teinte ça peau en noir et ses yeux en jaune. Chaque millimètre de peau noircie le faisait atrocement souffrir. Le voila maintenant au stade terminal de sa transformation, bientôt tout son corps sera recouvert. L'homme resta cloîtré 3 jours entier dans ça chambre de taverne. Le tavernier raconte que des cries horrible en ressorte a longueur de journée et toute la nuit aussi. Une fois sortie de ça chambre, il se dirigea vers Oren, pour rencontrer Jeaner, comme Maya lui avait promis.
Une fois arrivé à Oren, l'homme s'effondra sur les marches devant le temple, attendant que quelqu'un vienne lui adresser la parole. Maya arriva et entama une longue discutions avec lui. Une fois que Farkan, eu rejoint la discutions, Sylphide décida d'aller marcher autour d'Oren.
Une grande reflexion pris Sylphide, pour savoir si il était bon qui abrége ses souffrances ou non. La lame sous le cou, fut retirée par l'ombre de Maya. Farkan conseilla Maya d'enfermer cet humain pour qu'il ne fasse pas de mal. C'est ainsi que Sylphide se dirigea vers le château d'Oren.
D'après ce que l'on sait il y résidera pour ses derniers jours. Maintenant l'existence de cet homme se trouve dans les mains de sombres.
La quête
L’homme semble chercher quelques chose, mais quoi… D’après des gardes d’Oren, le chef de l’Ombre Sanglante, viendrai régulièrement demander « des pierres » à Meledith, de l’Istolla. Personne ne sais vraiment ce que c’est pierre représente pour lui. La seule personne qui serai en mesure de répondre à ses questions n’est plus en Azurya.
De jours en jours, l’humain et son hôte, Belaam, rassemblent pierres après pierres. Maintenant, trois pierres leurs manquent, celle que Sylphide avait donné à Maya pour ses expériences.
Belaam, met tout en œuvre pour arriver à les récupérer. Mais que ce passera t’il vraiment si il arrive à les avoirs toutes ? Peut être que cette rumeur pourra répondre à cette question ?
« Un démon peut faire beaucoup de chose, mais il ne peut surement pas créer une vie, et surtout pas la sienne…, pas par lui-même en tout cas.»
Le doute
Les bruits de planche qui percute le sol, le marteau qui frappe l’enclume, tous c’est bruit raisone dans ça tête. Assis sur les marches du temple de Goddard, la tête penchante, les bras posés sur ces genoux, immobile.
Le chef de l’Ombre Sanglante va mal… Depuis peu les relations avec le peuple sombres se font de plus en plus tendus, il n’a plus aucun contact diplomatique avec les humains ou les elfes et encore moins avec les nains. Il y a du travail, mais il ne le fait plus avec autan de plaisir qu’avant. La seule relation « intacte » qu’il peut prétendre avoir est celle avec les Corsaires. Il s’éloigne des personnes qu’il aimerai protéger et côtoyer, même ces hommes se font de plus en plus absence, pour ne pas dire inexistant. Serait t’il déjà parti ?
Un étrange sentiment de solitude commence à entourer l’homme. Une question lui revient sans cesse dans la tête : « Es-je choisi la bonne voie… ? ».
D’un geste mélancolique, l’homme se relève lentement. Il regarde le ciel et marmonna : « Je vais peut-être aller lui demander conseil… »
La remise en cause de Sylphide
Sur le haut d'une falaise, un homme médite avec comme seule musique le son du vent qui souffle dans ses oreilles. Sylphide réfléchi profondément à toutes les actions qu'il a pu faire depuis que la fusion a eux lieu. Il se tient la tête en la remuant négativement.
Je suis un monstre, je n'ai fait que du mal autour de moi... Je te comprend maintenant Ayane...
L'homme se relève d'un coup, avec un fort élan, il regarde l'horizon. Un nouveau jour se lève...
Je vais changer..., j'ai perdu la confiance de tout le monde...
Il baisse les yeux...
Cela va être difficile de regagner tout ce que j'ai perdu, mais je vais devenir quelqu'un d'intègre... Quelqu'un sur qui on peut compter...
Il serre la poing et le tend vers le jour levant...
Je le jure, maintenant, je vais devenir un "Vrai" Mercenaire. Je ferai exactement ce que je doit faire, pour ce qu'on me paie... ni plus, ni moins! Je resterai fidèle à mon contrat, et je n'irai pas voir ou il y a le plus d'argent, mais seulement ou on me demande en premier.
Sylphide se retourne est commence a descendre la falaise...
C'est un nouveau Sylphide qui arrive...
Adieu, Sylphide
Beaucoup de chose se sont passé ces derniers temps… Sylphide semble exténuer de toutes ces trahisons, ces mensonges. Il déambule dans les rues de Giran, se dirigeant vers son ancienne chambre, un sac à la main. Il ouvre et rentre dans la chambre, commençant à ranger ses affaires personnelle. En rangeant le tout, un médaillon tombe à ses pieds. C’était le médaillon que son père lui avait offert quand il était jeune, pour son anniversaire. Il le regarda silencieusement… Au bout d’un moment il le rangea.
« Père…mère…Ca fait un moment que je ne suis pas venu vous voir… »
Il fini de ranger ses dernières affaires alors qu’Haeldra arriva dans la chambre. Après quelques regards et quelques phrases échangées, Sylphide sort de la chambre et se dirige vers la passeuse.
« Le village de l’ile parlante s’il vous plait… »
Et la passeuse s’exécute, une fois sur l’ile, Sylphide se dirigea vers une vielle maison délabré, en ouvre la porte et pose son sac a l’intérieur, puis ressort. Il prit la direction des abords du phare. Il s’arrêta sur deux petites tombes fait de deux simples pierres. Il mit la main à la poche et sortie le pendentif, ferma les yeux et commença à parler.
« Maman, papa, je suis rentré… » « Excusé moi pour ma longue absence…, je vais rester un moment à la maison. »
Il se mit à genoux et commença à verser quelques larmes.
« Je…vous me manquai…j’ai besoin de vous en se moment…il me manque des bras…pour me réconforter…, je me sens seul…tellement seul. » « Je vais me reposer maintenant… » « Je reviendrai vous voir plus souvent…promis. »
Il arbora un sourire de gamin et se releva, s’époussette et se retourna pour partir, à se moment la Haeldra était la qui attendait sagement et silencieusement un peu plus loin. Elle était venue lui dire que la chambre à Giran était libre s’il le voulait. Mais il lui répondit qu’il aller rester un moment ici. Après une brève discutions, Sylphide rentra chez lui accompagné d’Haeldra. Mais elle ne resta pas longtemps dans la maison, et partie sous peu.
Sylphide était seul au beau milieu de la pièce, sur sa chaise. Il observé le plafond, en équilibre sur deux pieds de chaise… puis se redresse et se dirige vers une pièce qui est condamner par plusieurs planche. La chambre de ses parents, il détacha les planches qui était faiblement clouer sur le mur et entra dans la chambre, qui était remplie de poussière, sur le sol du sang sécher depuis des années… A ce moment la il se rappela de la nuit ou il trouva ses parents morts dans cette chambre. Une tristesse profonde envahie Sylphide, qui d’un pas de zombi se dirigea vers le lit de la pièce et s’écroula dessus. La tête dans l’oreiller poussiéreux, son regard se figea. La porte se claqua, comme fermé par le destin. Il se retrouva dans le noir total, les volets fermé…
Un grand silence envahie la maison…
Quelques semaines plus tard, une troisième pierre fut érigé prêt des deux autres qui était sur les abords du phare. Dessus pour la première fois, nous pouvons lire ce nom inconnu de tous…
Sylphide Arnea…
La colère familliale
Sylphide était tranquillement en train de flaner à Oren, quand il reçu une messive. Lisant tranquillement son message les yeux de Sylphide s'ouvrent petit à petit, les écartants de plus en plus...
"Qu...que....!"
Sylphide laissa tomber le message par terre et accours vers la passeuse. D'une voix presser....
"Vite a Giran!"
Une fois sur place, il apperçu Dyhn passer, trainant Valdus la tête couverte de sang. Sylphide reste figé pendant quelques instants le temps de réaliser que Valdus était bel et bien dans un triste état... Après quelques secondes Sylphide se rua dans la cathédrale pour prendre des nouvelles. Il s'empressa de demander a Dyhn ce qu'il s'était passé. Elle repondit qu'une femme avec plusieurs voix l'avais attaqué.
Le sang de Sylphide ne fit qu'un tour.
"Cette......"
Son regard se remplie d'une haine sans égal... D'un ton de rage..
"Dyhn occupe toi de Valdus"
Sylphide commença a partir a toute vitesse. Dyhn le rattrape et lui demande ce qu'il compter faire. Sylphide répond...
"Je vais la cramer cette Salope...."
Sylphide disparait dans le flux magique de la passeuse.... | |
| | | Sylphide Hyperactif
Messages : 246 Date d'inscription : 08/02/2009 Age : 38 Localisation : ALBI
Feuille de personnage Nom: Sylphide Race: Humain
| Sujet: La nouvelle résurection. Mar 10 Fév - 22:00 | |
| Voila plus de 4 mois que l'assaut du château d'Oren était passé. Suite au sacrifice de Sylphide pour sauver c'est compagnons lors de la bataille finale contre le brigand indésirable, la vie reprend son court, sans le capitaine de l'Ombre Sanglante. Son corps disparu comme évaporé dans la nature, plus de trace de vie pendant c'est 4 derniers mois... Un jour, alors que Lilea avait dépéché des hommes à la recherche de son capitaine, un rapport lui reviens avec une lueur d'espoir. Un homme aurait était repéché dans un fleuve, peu près l'attaque sur Oren et serai maintenant dans la tour d'Ivoire en observation et en soin intensif du à c'est blessure grave.
Lilea et Firiel se retrouve sur place pour mener une enquête eux même. Suite à une discussion rapide avec la passeuse de la tour d'ivoire, ils se téléportent à l'étage des humains, puis commence à inspecté les environs... Après quelques instants, Lilea s'arrête devant un grand cube d'eau, avec a l'intérieur, un homme dans des vêtements blanc, entrain de flotté en plein milieu de l'eau, relié avec des liens de magique, lui permettant de respirer.
Sylphide...il était donc vivant. Inerte, sans vie, les yeux fermé, Lilea et Firiel commencent à ce poser des questions. Quelques instants après la découverte, un mage de la tour débarque pour les stopper, Firiel voulant littéralement détruire la cuve d'eau.
Après plusieurs minutes de négociation, le mage commence à expliquer que cet homme est resté endormie depuis 4 mois, qu'il n'était qu'un légume, et il rajouta qu'il tenterai de le réveiller quand dans plusieurs mois, après avoir tout préparer correctement. Firiel, ordonne au mage de faire les préparatif en 25 minutes, pas une de plus. Le mage s'exclama que c'était impossible, il pris peur et s'enfuit.
Lilea s'approche doucement du la cuve, soudainement une lumière vive rayonne de sous sa cape noir. Elle en sort l'emblème de Sylphide qui été resté dans le cratère qui s'était formé près du château d'Oren. L'eau de la cuve commence à bouillonner, les liens magiques qui retienne Sylphide commence a faiblir. Lilea étonné par le spectacle marmonne c'est quelques mot :
"Il a enchanté son emblème..., il avait tout prévu, le fourbe!"
A c'est mot, Lilea, plaque l'emblème contre la parois de la cuve. La réaction ne se fit pas attendre, en quelques secondes, l'eau s'évapore et devient un nuage de buée. La buée s'estompe, le capitaine de l'Ombre, se tient debout, la tête pencher vers l'avant, et commence à ouvrir les yeux, lentement... Lilea en guise d'acceuil, se permet de sortir une blague, mais le Capitaine, je répondi que par la phrase suivante :
"Vous êtes en retard..."
Après quelques minutes de discussion, le groupe quitta la tour, pour le château d'Oren... | |
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