(Les chroniques se déroule pendant son absence, après avoir quitter l'anarore et avant d'entre dans le clan de mercenaire dirige par sylphide)
Quitte la tête haute, Brave guerrier.
La lune et Haute dans le ciel, aujourd’hui j'ai 30ans. Un anniversaire à passer seul, les yeux rivés sur l'océan qui me fait face. Le souffle de l'océan me claque les joue, Dans ma main une lettre écrite sur un Parchemin ancien on peut y reconnaître, par rapport aux formes, aux courbes des lettres quelle avait été écrite des mains d'une femme et sûrement pas humaine. Une larme coule le long de ma joue, je me reprends dignement, me redressant. Ren, ma dragonne est sur mon cote droit, ses yeux effrayants aux regard des autres, chaleureux aux miens, me fixent.
Je jette un dernier regard à la maison bordant le port de Giran, je ferme à clef et je mets la clef soigneusement dans une petite enveloppe qui sera déposée à mon coffre en banque. La route va sûrement être longue et pénible. Abandonné ce qui me reste d'amis est la seul solution pour moi de faire comme une « pause » dans mon existence.
Plusieurs images de ma vie reviennent à mon esprit. Le seigneur de Dion, ses Filles, le roi de rune, elle...Sont regard, son doux visage innocent, ses lèvres, son odeur...
Plusieurs larmes coulent sur mon visage meurtrit par les épreuves qui m'on amenées jusque là. Je chevauche ma dragonne et d'un coup de talon, elle part en direction de la prochaine ville.
Un roi a toujours ce qu'il souhaite.
Le soleil se lève, je le vois car une bonne partie de la nuit je suis resté éveillé à scruter par la fenêtre de ma chambre, mes deux épées dans leurs fourreaux, impatientes d’en découdre avec ma prochaine cible. Dans le lit sur ma gauche une femme sombre et allonger a moitie nue, des cheveux d'un blanc perle, des fines lèvres rosées, ses fines jambes dépassent des draps de soie, je l'ai connue hier soir dans la taverne à l'étage du dessous. Elle me rappelait quelqu'un... Est ce mal? La question ne se pose pas. Je fus interrompu dans mes pensées quand des bruits de fer à cheval claquent dans la ruelle, je pousse doucement d'un doigt les rideaux. Un homme, une armoire plutôt, des traits nordiques, les cheveux gris. Pas de doute.
Je me lève délicatement du rebord de la fenêtre, je tourne les yeux, et la jeune sombre n'est plus paisiblement allongée dans son lit, elle est à ma droite, un poignard sous ma gorge. J’esquisse un léger sourire. Je me doutais que ce n’était pas mes jolis yeux qui lui avait plue. Elle me demande de lever doucement les mains, ordre que j'exécute aussitôt. Elle commence à me dépouiller. Une voleuse. Je ne suis pas étonner dans cette ville il n'y a que ça. Mais... elle se retrouve visage contre le sol, mon genou sur ça joue et mes bras lui entourant sa main menaçante, je pivote légèrement, elle sert les dents de douleur et lâche le poignard. Je la relâche doucement et la balance sur le lit. Une conversation dénigrante sort de ma bouche envers ça personne, elle ne dit rien, mis à part de légers haussement de tête. Je fini par quitter la chambre aux milles plaisirs, prend des escaliers qui me conduisent au rez-de-chaussée, sort par l'arrière et arrive à retrouve avec un bon coup de chance le dit nordique.
Il tourne souvent la tête en ma direction, me fondant dans la foule je n'ai pas de mal a esquiver son regard plus d'une fois. Mais! C'est arrivé à la sortie de la ville que d'un coup de lame je sectionne la patte arrière de son cheval et qu'il tombe au sol lourdement.
Je le désarme avec ma seconde lame, puis avec celle imprégnée du sang de la bête agonisante, je place le file de la lame acérer comme un rasoir sous ça gorge, hors de porté des prises ou autre entourloupes de guerrier.
Je le dévisage lentement et, d'un coup vif, je lui tranche la tête qui fini par rouler sur le chemin de terre séché. Ses cheveux me servent de maintien pour mettre ça tête dans un sac de cuir avec dessus, un symbole royal.
Sur une des collines, la femme sombre de la taverne m'observe. Je ne laisse rien paraître et je continue mon bout de chemin en direction du château qui borde la plus grande rivière du pays.
Les gardes en armure d'acier noire et de bronze me laisse entrer et je pose violement la tête sur la table du rois, en plein dîné avec ses invités. Il m'interroge, je lui réponds simplement, selon ma méthode… Je détache la corde qui refermait le sac et fait rouler la tête sur la table. Plusieurs cris de terreur retentissent dans la grande salle de marbre. Le roi effrayé dans les débuts, termine par se lever, frappant dans ses mains, heureux que j'ai réussis ma mission. Tuez l'homme qui avait abuse de sa fille un soir de pleine lune.
J'ai 34 ans et me voila Capitaine de la garde royal d’Himraor, Roi de son temps.