[Humain] Ardias

Race : Humain
Sexe : Mâle
Classe visée : Lancier.
Âge : 29 ans
Alignement : Loyal, Aimable.

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L'Histoire :

Je m'appelle Ardias.
Je suis né au village des Humains, dans une famille modeste, mais pas pauvre.
Mon père travaillait a l'armurerie comme la plus part des hommes de ma famille, quant à ma mère, elle s'occupait de nettoyer les armes crées par les forgerons.
Je suis fils unique, mon père a disparu (un terrible accident, il fut attaqué, on ne l'a jamais retrouvé) je n'avais alors que 15 ans, ce fut un véritable déchirement. Heureusement, le Forgeron Brunon, un proche de la famille, me remonta le moral en m'indiquant ce vieu dicton qui disait : "ce qui ne te tue pas te rend plus fort", et il n'avait pas tord.
A partir de là, tout était clair dans ma tête ; il me fallait me renforcer, travailler dur pour devenir un lancier d'élite.

Peu de temps après, le sort s'acharna sur notre famille, ma mère était tombée gravement malade, apparemment elle traînait cette maladie depuis très longtemps, mais de peur que nous nous aventurions seul sur des terres inconnues (afin d'aller chercher le bon remède), elle n'a rien dit et a gardé cela pour elle... elle souffrait en silence.

Lorsque la douleur se faisait insupportable elle finit par nous le dire, mais il était presque trop tard.
C'est alors que je me suis mis en route à la recherche de plantes et de potions guérissant cette maladie.
Arrivé à Schuttgart, j'avais les potions, il me restait a trouver les plantes.
Il me fallait faire vite, pas question de traîner. J'avais décidé qu'au bout de 10 jours, si je ne trouvais rien, je devais retourner au village.
Une semaine plus tard, j'étais de retour. J'avais réussi à trouver toutes les plantes qu'il me fallait. J'y suis arrivé en courant et exténué.
Les Gardes me regardaient d'un oeil désolé ainsi que toutes les personnes qui me voyaient passer, je ne comprenais pas, mais tout ce que j'avais en tête, c' était de retrouver ma mère et de lui administrer le remède.
Je suis arrivé à ma maison en défonçant la porte, et là, s'y déroulait une veillée funèbre : elle était morte.
A bout de force, et pris par l'émotion, je me suis évanoui.
A mon réveil, Brunon le forgeron, m'a dit qu'elle était décédé juste après notre départ, qu'il ne fallait pas culpabiliser, et qu'elle avait laissé une lettre s'excusant de ce qu'elle nous avait fait endurer, pour toutes ses épreuves, et me demandait de bien prendre soin de moi.

Je suis resté hagard pendant toute une journée, puis je décidais de me préparer pour m'entrainer.
Apres cet évenement j'ai suivi un entrainement acharné.
2 ans s'écoulaient,mon paquetage était prêt, et je suis d'abord aller voir mon ami Brunon qui m'avait préparé une lance, cette lance appartenais a mon père, Bunon y a ajouter une pierre spéciale qui augmente sa puissance, ainsi qu'un équipement sommaire mais qui "tiendrait la route" m'a t'il assuré.

J'étais donc plus que décidé de reprendre la route afin de me perfectionner.