Sariya [r.sombre]

Sombre
312 années
Alignement : chaotique

Sariya.


Sombre est la nuit qui ma vu naître et les lourds nuages que je me dessine modèle le destin tragique que je me suis fixé…


Un cœur de silex qui s’embrase à la moindre étincelle je suis Sariya une sombre fiere et vindicative au caractère ombrageux.


Je ne vie que pour le défit, la vie, la mort…Shilen peut être. Mes flèches sont justes et fortes elle scille aux oreilles de mes ennemis avant de touché au but les saignant profondément.


Je ne suis heureuse qu’arme en mains et avec les miens le peuple sombre auquel mon amour et mes soutiens sont sans faille. Des annonces de menaces sur nous retentissent en moi et me fait sortir de ma retraite qui me poussait a fuir les grandes villes que je haie farouchement.


Lotha oloth est mon surnom et cela veut dire « petite ténébreuse » donné par mon père quand je fus très jeune et qui me colle depuis. Cela viens du fait que me battais sans cesse avec les garçons de mon âge et avec les poings je me prenais presque a chaque fois des raclées mais revenais a la charge tout les jours. Mère était bonne soigneuse heureusement pour moi et réussi a me persuader de ne pas faire de combats rapprochés mais que l’archerie serais un bon moyen de me défouler sans prendre trop de coups.


Je partis donc apprendre assidûment et cela me plus si bien que je me découvris une passion et un talent pour cet art. L’invocation plus tard aussi j’appréciai énormément la puissance du lord, invocation suprême de mère.


Je recherche à présent d’autres sensations, une autre façon de me battre ou de mourir…


Mourir l’épée a la main sans doute ou vivre encore très longtemps, qui sait l’avenir a par mère je désire et cherche la mort dans mes actes mais Shilen ne n’écoute pas…


A la nuit tombée, je reviens comme chaque jour d'une longue baignade et m'allonge près du feu contemplant les étoiles je recherche toujours la même et la fixe jusqu'à tomber d'un profond sommeil...

« Passant cette arche, ce passage interdit... je marche...je marche doucement et entends leurs lamentations silencieuses je ferme les yeux et c'est entre le vase et l'épée, la trompette et la faux qu'un jour je la trouverais...ou finirait »