Nom: Valdrik
Âge: Jeune adulte de 28ans
Métier: Duelist.
Dieu : Einhasad
Alignement: Neutre bon.
Village Natal : Azur
Signe particulier: Cicatrice à la joue droite près de l'œil, dissimulé derrière une mèche.
Description: Chevelure tirant sur le rougeâtre légèrement, des yeux bleus qui semblent inspirer de l'ignorance ou bien du refus de connaître. Un corps robuste à celui d'un guerrier.
Voici l'histoire qui résuma le bref de mes souvenirs:
Tout d'abord, je suis né d'un père bâtard et d'une mère dont personne voudrait en entendre parler. Comme mes parents ne désiraient pas d'enfants, ils m'ont placés dans un Orphelinat pour les jeunes bambins de mon âge, situé près de la forêt du Village d'azur. Petit, que j'étais, têtu, je serais. Cependant, les autres enfants n'appréciaient pas ma venue dans leur petit univers restreint. Ils m'insultaient, ils me rejetaient sans cesse. J'avais appris au cours de nombreux entrainement dans cet établissement là, toutes les bonnes manières ainsi que les principes à acquérir afin de se comporter comme un parfait saint mais malheureusement, du à mon mauvais caractère, je n'en étais pas moindre..
J'étais seul à présent. Aucun des enfants ne souhaitaient établir un lien d'amitié avec moi. Un jour, il y a eu une bagarre qui éclata dans la cour de l'orphelinat. J'en étais l'assaillant, alors que l'autre enfant, semblait être la victime, ou plus particulièrement l'erreur d'avoir un jour levé la main sur mon visage. Le garçon était mort sous l'empreinte de mes mains. Tout compte fait, les gardes de l'orphelinat m'enfermèrent dans une pièce sans fenêtres, sombre. Dès ce moment, je comprenais que ma vie dépendait de mes actes. J'étais méfiant envers les autres à présent. Je ne faisais plus confiance à n'importe qui. Puis, à l'âge de ces 18 ans, une foi fini les années que j'avais à faire à l'orphelinat je pu partir sans jamais y remettre les pieds.
Quelques années passèrent.
Et puis vint ce soir, que je n'oublierai certes jamais.
J'étais vers la ville commerçante de Giran. Je m'étais assagit depuis le temps de ma jeunesse, mais quand même. Je devais quitter cette ville pour me diriger vers une autre, de fil en aiguille. Je voulais découvrir le continent d'Elmore, et d'Aden. Je voulais tout connaître, tout ce dont j'avais pu raté avant. Mais comme à chaque fois, il se produisit quelque chose qui m'empêcha d'accomplir tous ces rêves d'adolescents.
Lorsque j'ai voulu sortir de la ville, un pressentiment me parcourait tout le corps à l'aide d'un léger frisson. Je voulais écouter mon instinct mais ma passion fut trop grande pour tout la contenir. Je marchai quelques pas alors, mais, dans l'ombre du doute, mon premier en fait, quelqu'un par derrière m'a accroché l'épaule, et m'a tiré d'un coup. On m'a caché les yeux d'un bandeau noir. On m'a attaché les mains mais pas les pieds, que je puisse les suivre. J'étais devenu un esclave. Là, je croyais que ma vie était terminée. Être soumis à quelqu'un, c'est le pire des cauchemars. Je ne savais pas où ils m'amenaient, et je ne savais pas qui étaient ces gens, sous le bandeau que je portais sur mes yeux. Je ne savais rien du tout. Il me restait que mes sens pour me consoler et me rassurer du pire qui pourrait sans doute arriver par cette mésaventure des moins palpitantes.
Et puis, il y avait cette petite pièce. On m'a jeté dedans, et dès ce moment, la première chose j'ai fais, c'est de faire tomber le bandeau qui retenait ma vue en otage. J'aperçus dans quelle histoire j'étais encore tombé. Il y avait certes une petite fenêtre tout au fond de la pièce. Lorsque je regardais par cette fenêtre poussiéreuse, celle-ci m'offrait certes le portrait d'un paysage que je voudrais sans doute oublier. Il y avait un petit cimetière creusé pour y laisser les prisonniers qui ne sachent tenir le coup trop longtemps. J'avais l'impression qu'ils m'avaient même fait une place, pour ma vie. Je ne supportais plus rien. Mon mauvais caractère prenait toute la place en mon être sans défense. J'avais l'impression d'être impuissant au milieu de ce désordre sans fin!
Ensuite, vint les jours maussades que je n'avais pas prévu de voir sitôt.
De nombreux jours, où chacun d'entre eux permettaient de souhaiter la mort plus que jamais. Ces jours se limitaient à des souffrances accumulées face à des gens sans relâche. Mon calvaire commençait. Je le ressentais tout au profond de mon être. Et là, oui, j'avais peur légèrement. Mais, je ne souhaitais pas baisser les bras pour autant. Je voulais survivre à cette épreuve. Pour le reste, j'en avais plus rien à foutre désormais. Chaque jour, c'était le même qui repassait et repassait certes dans ma tête. Puis, vint un soir, où je suis tombé sur le plancher sans bouger. Un coup de faiblesse qui m'avait coûté cher. Je ne voulais toujours pas répondre à leurs questions. Quelqu'un, sans que je puisse le reconnaitre, comme il était habillé que de noirs et de rouges, m'a frappé si fort au visage, qu'une blessure sur le bord de l'œil près de la joue droite a apparu. Durant leur interrogatoire et de torture j'ai réussi à leur subtilisé une dague, que je cacha immédiatement dans une de mes bottes. quelques minutes plus tard, ils me ramenèrent à ma cellule et mi jettent sans même me fouillé, car heureusement pour moi j'étais dans leur repère depuis quelques jours, ainsi leur méfiance envers moi était devenue nul.
Depuis ce jour-là, je commençais à les observer, et à les analyser plus précisément. Je devais sortir d'ici, alors j'avais du travail. Ce qu'il n'avait pas prévu ce jour-là, c'est que je portais depuis mon dernier interrogatoire sur le côté de ma botte gauche, une petite dague bien camouflée dans un revers de celle-ci. Je pouvais donc enfin préparé ma sortie. Malgré leurs allées et leurs retours, je pouvais comprendre qu'à un certain moment de la journée, ils ne revenaient pas tout de suite. C'est ce moment que je devais profiter. Et c'est ce dont je fus. Je me suis premièrement détaché les mains à l'aide de ce petit couteau. Ensuite, j'ai défoncé ma porte qui me tenait ainsi prisonnier. Aucun bruit, je continuais d'avancer. Comme la porte au rez de chaussée était verrouillée, j'ai du passer au travers d'une petite fenêtre et ensuite, je me suis enfuis le plus loin possible. Jamais, je ne me suis retourné.
Ce souvenir était bien marqué dans ma mémoire.
Même si je cherchais désespérément à l'oublier.
Quelques jours plus tard, je me suis réfugier dans une petite ville, appelée Dion.