Nom : Arcadia
Prénom : Diacre
Sexe : féminin
Age : 21 ans
Culte : Einhasad
alignement : Chaotique
Trait de caractère : Calme, souriante, ingénieuse, jalouse, rancunière et malhonnête.
Signe particulier : Un tatouage dans le bas du dos représentant un aigle à deux tête, porte des lunettes.
Histoire :
La journée était paisible, le soleil brillait et un doux vent caressait les blés. Cette tranquillité fût brisée par des cris de douleur, le travaille d'une mère donnant naissance à son premier enfant. Puis vînt le tour des hurlement d'un bébé qui pour la première fois, respirait et tombait dans le dure labeur de la vie qui se prononçait devant elle. Oui, elle, c'était une petite fille, que son père s'empressa de présenter aux gens présent, à la famille, à crier qu'il était enfin père, laissant couler des larmes de joie du à son émotion.
La petite fille nommée Céane par ses parents, grandit et commença l'école. Elle était brillante chaque semestre elle était la première de sa classe. La none qui faisait les cours gardait un œil sur elle. Elle avait un potentiel pourtant ses parents ne voulait pas qu'elle s'attache de trop à l'église.
Un soir, la jeune fille rentra comme à son habitude mais elle n'était pas seul. Effectivement la femme d'église qui lui faisait cour la raccompagnait.
A la grande surprise de son père, celui ci fit comprendre à la religieuse de quitter les lieux au plus, vite l'homme ne voulant pas avoir à faire à l'ordre d'Einhasad. Pourtant la none resta et obligea les parents à mettre leur enfant dans le couvent le plus tôt possible. Ceux-ci refusèrent mais elle leur fît comprendre que l'inquisition les attendrait au virage si ils ne le faisait pas. Par peur l'homme et sa femme acceptèrent, laissant la religieuse s'emparer de la petit Céane.
Les mois et les années passèrent.
La petite fille était devenue une ravissante jeune femme. Elle était devenue none et n'avait qu'une envie, retrouver ses parents et les serrer contre elle. Mais la mère supérieur ne le voyait pas sous un angle d'aussi bonne augure. Les compétences de la jeune femme devraient être mises aux sein de l'inquisition pensait elle. Mais comment, l'y convaincre, elle qui ne pensait qu'aux siens et à leurs retrouvailles.
Le jour était venu. Céane sortait pour la première fois du couvent. Elle savourait cette liberté mais elle avait acquis un don, celui de soigner n'importe quelle blessures. Elle était très douée en médecine, elle voulait voir sa mère heureuse et son père fier d'elle.
Elle croisa un petit groupe de l'inquisition, qui la dépassa en direction de chez elle au galop de leur monture. Elle se mit alors à courir en voyant une fumée noirâtre s'élever haut dans le ciel.
Après une dizaine de minutes, de course intensive, elle vit alors la ferme familiale en feu. Elle se rua sur les lieux, désespérée, en appelant ses parents. Un des chevaliers la stoppa, l'empêchant d'entrer dans la battisse en flammes.
Céane regarda le chevalier les larmes aux yeux. Celui-ci lui fit comprendre que c'était un groupe de Kainistes qui était a l'origine de cet acte immonde. Le regard de la jeune femme était désemparée mais de la chaleur des flammes sont regard était devenue froid.
Lorsqu'elle rentra au couvent, elle s'en alla parler à la mère supérieur et lui donna ses motivations pour rejoindre l'ordre de l'inquisition, afin de purger l'impure et de les purifier par les flammes. Heureuse par ses mots la none supérieur acquiesça et lui donna le lieu pour entré en celle ci.
Quelque jour plus tard, Céane s'y était rendu, mais elle avait changé de nom, car pour elle, ses ennemis lui avaient retiré son nom par le meurtre de ses parents. Lorsqu'un des gardes du monastère vînt la recevoir, elle donna son nom, Diacre. Celui ci la regarda et elle esquissa un doux sourire. Ayant parlé à l'archevêque et aux autres dirigeants de l'ordre Imperialis, La jeune femme rentra et fût assignée à un groupe de l'inquisition.
Deux années passèrent, bon nombres de renégats avaient été tués, d'infidèles brûlés vifs et autres tortures que pratiquait l'inquisition. Diacre tomba sur un courrier destiné au chef du groupe. Par curiosité, elle lut celui ci et tomba sur une chose qui la mit hors d'elle. C'était en réalité le rapport sur la mort des infidèles et des hérétiques qu'avait tué ce groupe au cours de leurs trois dernières années. Sur la lettre, se trouvait les noms de Jean et Lucia Arcadia, ses parents.
Elle rangea délicatement celle-ci et alla dans sa chambre l'aire de rien.
Après quelque jour, une nouvelle mission était pour eux, un groupe de kainiste qui rodait dans les environs. Les inquisiteurs, facilement reconnaissable par le symbole de l'aigle tatoué sur leur corps, se mirent en route pour affronter ces hérétiques. Mais la vengeance coulait dans ses veines, la haine et la froideur qu'elle avait envers ces êtres était sans précédent. Le combat commença, il était rude mais une personne était là, assise et les regardait s'affronter. Un des chevaliers supplia la jeune femme de lui donner des soins rapidement, elle le regarda et sourit, le laissant mourir comme un animal en détresse. Elle regarda le groupe se faire tué peut à peut ne les soignant plus. Elle regarda leur chef mourir lentement celui ci en crachant du sang l'insulta de traitre et de catin. Elle se contenta de sourire, de se relever, et les infidèles se mettaient sur leurs gardes. L'un d'eux lui demanda son nom. Elle lui répondit simplement : '' Diacre ''.
Très vite, dans les alentours de certaines villes, l'histoire de cet acte se propageait. On y parlait de la ''Diacre infâme'', celle qui se fichait de la vie d'autrui.