Nouveau rêve
Près d’une décennie c’était écoulé depuis que Dipsy était revenue à la maison. Les premières semaines avec sa petite sœur Orie ne fut pas de tout repos. Mais une profonde amitié s’installa entre elles.
Toute les histoires racontées sur les gens qu’elle a vue ou les merveilles qu’elle fabriquait ont données à Orie le même désire de richesse et d’aventure que sa grande sœur avait. Toutes deux travaillaient sans relâche depuis un certain temps pour avoir une chance de repartir un commerce semblable à ce que fut le Marché noir.
Au vue de la situation à Giran avec les évènements concernant la mort prochaine du roi Eitri. Cela pourrait être leur chance d’aller bien plus loin que ce que fut le Marché Noir. Même leur père Mirabar trouva leur projet intéressant et consentit à les aider dans leurs préparatifs de départ. Renverser les forges actuel pour un commerce sans frontière n’y restriction inutile était une occasion rêver. Il ne faut simplement pas que Vardeek succède à l’actuel souverain mourant. Le Marché Noir allait tout faire pour ne pas que cela se produise.
Après s’être trouvé un logis a Giran, elles entreprirent de transporter leurs possessions en une série de voyages qui furent pour certain très mouvementés. Leur rencontre avec une humaine agressive qui leur tira les cheveux et donna des coups de pied fut la plus dangereuse de leur menaces. Mais devoir traiter avec tous ces humains qui trainaient un peu partout à ne rien faire ne fut pas plus aisé. Leur habitude à s’assoir au beau milieu du chemin sur une voie passante contraria sérieusement Dipsy qui ne ce gêna pas pour en toucher deux mots à l’un d’entre eux qui supposément était leur roi.
Hormis certain désagréments mineurs elles firent la rencontre d’une elf qui faisait la grève de la faim depuis trois jours. Selon Dipsy et Orie l’elf devait avoir mangé un truc pas net qui faisait bouger ses oreilles et la rendais coincé. Dans un élan de générosité sans borne elles offrirent à cette elf un repas à leur frais à la taverne. Mais celle si déclina l’offre. Trop heureuses d’avoir économiser une facture d’un repas toute en ayant fait une bonne action. Les deux naines partirent chez elles le cœur léger.
Une rude journée de travail les attendait. Mais c’est à leur façon qu’elles allaient le faire.