[petit texte Rp que j'avais écris sur ce qui pourrait incarner la mort.]
L'homme marcher lentement les yeux maculer de sang, le corp meurtrie par les coups qu'il avait recut, le bruit des chaine en acier frotter le sol...
Vous savez qu'elle effet cela ma fait quand j'ai vus cela? ce que les être vivant peuvent infliger a un homme qui affirme ces opinions, qui a une couleur de peaux différente, a une religions, des conviction différente.j'ai trouver ca répugnant.
Je le regarder de la ou j'étais avec de la tristesse dans les yeux, une l'arme de souffrance venait se fondre sur ma joue pour aller s'étendre dans son âme telle une lumière éblouissante qui éclairerais l'obscurité des ténèbres.
Méritait vous dites? surement.. Mais personne ne meritte une telle souffrance. personne..et je suis déconcerté de dire cela.
Dans une tenue de dépraver je le voyait marcher, faire des petits pas, nullement presser de se rapprocher de la mort. Je pourrais en rire dans d'autre circonstance, mais comme vous le savez je reste stoïque.
Pourtant il me fait sourire avec ces cheveux blond et son air de dur a cuir..un dur un cuir? ça aussi ça pourrais me faire sourire. Un homme qui, tous les soir se tiens au balcon de ça maison de bois, revoyant les images de ça famille qui était morte un a un... Son père, son frère, ces amis.se contrôlant pour ne pas craquer.
Moi même jetait passer les chercher, les regardant de mes yeux datant du début de la création de cette planète, ne voyant..pas plus loin du bout de mon nez? oui... J'arriverais presque a comprendre ce qu'est la compation, la déception? la souffrance? moi?? pouvoir connaitre ceci? ça serait me rabaisser a la bêtise humaine..qui regroupe toute les races évidement.
De mon petit portique je regarder la scène comme quelqu'un qui regarderais une parade dans ces ruels, comme un tapissier regardant ces création prendre formes.
Puis je frissonna.. je regarder ma propre peaux, frissonnant sous les images que je voyait. Je n'arrivais pas a comprendre, puis mon regard se reportant sur la scène. Comment on pouvais infliger cela a un homme?. Ils s'acharner sur lui comme on n'acharnerais sur une proie sans defence. Honteux.
J'ai voulut intervenir, plus d'une fois...Mais malheureusement étant moi même la mort je ne peut pas faire tout ce que je veux. Au dessus de moi les dieux veilles..
Pourtant j'applaudis le voyant se relever malgré les blessures infliger! je le félicite! mais j'arrête toute actions! je cris de rage! je suis prés a enfreindre les lois des dieux.
Comment peuvent-il enfermer son ame? il n'aura pas donc le droit au chemin cristallin? a la route qui le rejoindra a çà jeune femme ailée qui l'attend dans le doux pays du second monde?
Je pose ma main sur mon visage a la peaux rose, mais cheveux blond, me tombant sur les épaules, et une partie de mon visage cache mes larmes coulant sur ma joue, je ne comprend pas sur le coup..Mes a trop regarder ce peuple je commence a avoir un cote jeune femme qui a bon cœur. Je suis la mort! ne l'oubli pas jeune fille.
Aurais-je le droit d'aller le voir? j'implore un des dieux de ce monde sans émotion, il me dit que non et retourne a ces préoccupation comme si de rien n'était.
Je retourne a ma position a toute vitesse et regarde par la fenêtre le corps de cette homme se consumer dans un feux loin d'être sacrer.je ferme les paupière délicatement.
je lui fait un petit mouvement de main accompagner d'un mots qu'il faut avouer, et loin d'être dans mon dictionnaire, souvent le mots qui ressort et un petit " a tout de suite" ou "on se revois de l'autre cote" ou encore..."c'est bien pire que tu ne le crois" mais la ce fut un simple....
"au revoir...."