Nom : Katarr
Age : 22 ans
Morale : un orc d’un calme et d’un sang froid a tout épreuve, il voue une foi sans faille envers son dieu Paa’grio. Malgré ce calme qui l’habite, il déteste les humains et éprouve un dégoût certain pour les elfes, les ignorants la plupart du temps. Il est quelqu’un de très curieux également, se renseigne sur la plupart des races, il a appris très tôt à parler la langues communes des humains, les autres langues semble pour le moment, trop compliquer à apprendre.
Physique : Etant shaman, sa musculature est fine, malgré ses ennuis de santé du début de sa vie, il a sut montrer que sa volonté pouvait détruire la maladie. Son visage indique tout de suite qu’il est loin d’être « l’orc stupide » que beaucoup se plaisent à dire sur son peuple.
Objectif : Réunir toute les tribus des orcs sous une seule bannière et restaurer l’age d’or de son peuple afin de prouver la valeurs de tous les siens envers Paa’grio
Chapitre 1 : « Un avenir incertain, la volonté du feu. »
La naissance de Katarr fut plutôt mouvementé et eu de lourde conséquence pour sa mère qui ne put survivre à l’accouchement. Attrister par la mort de sa compagne, son père qui était un guerrier respecter du clan Atuba, s’occupa de lui et lui donna un enseignement digne de ce nom.
Malheureusement, un autre malheur s’abattu sur ce père veuf six ans plus tard, les shamans de son clan était catégorique, son fils était malade et ne vivrait même pas assez longtemps pour prouver sa foi. Katarr, malgré cela, n’avait pas peur, étudiant auprès des shamans de sa tribu, il ignorais les mise en garde sur sa santé, disant que Paa’grio jugera lui-même si il est digne de prouvé sa foi envers lui.
Deux années s’écoulèrent, Katarr ressentait de plus en plus la maladie le ronger, mais cela n’entamais pas sa volonté d’apprendre ni sa foi, son père était fier d’avoir un fils aussi déterminer et courageux, il décida de l’emmener avec lui non loin du village, une sorte de promenade pour faire découvrir a son fils le monde qui l’entoure. Sur les épaules de son père, Katarr ne sentais même plus la maladie, son bonheur actuel y jouait beaucoup, apprenant par ses yeux et par les explications de père.
Soudain, un ours d’une taille très impressionnante se rua sur les deux orcs. D’une vitesse fulgurante, le père de Katarr mit en sécurité son fils et sortit ses griffes de combat. L’animal se rua contre le tyran, l’entraînant avec lui dans sa course malgré les efforts de l’orc pour le freiner mais sans succès, les deux combattants se précipitèrent au bout d’une falaise. Katarr les vit disparaître, les cries s’atténuant avant un bruit de chute, l’endroit retrouvant son calme.
Le jeune orc s’approcha de la falaise, ayant presque peur de ce qu’il allait voir. Il pencha sa tête et vit son père accrocher a une aspérité de la falaise, plusieurs blessures parcourait son corps et l’un de ses bras s’emblais cassé. Son père, malgré la souffrance, leva la tête et sourie à son fils :
« - Tu n’a rien ? »
Katarr fit non de la tête puis se mit a genoux.
« - Père, je vais vous sauvé, comme vous m’avez sauver, je ne…
- Même maintenant, la mort approchant, je suis encore plus fier de toi, mon fils, mes forces m’abandonnent…
- Non ! Au nom de Paa’grio, vous allez vivre même si je dois le rejoindre aujourd’hui ! »
Se rappelant des leçons donner par les shamans de sa tribu, il chanta un sort, mettant toute sa volonté et sa force pour la réussir. Son père, ouvrant grand les yeux sentit son corps se réparer peut a peut, son bras reprenant sa force d’avant, une profonde chaleur en lui le parcourais, il grimpas la falaise et rejoignit son fils, ce dernier épuiser.
Prit par la peur de perdre son enfant, il coura le plus vite possible pour rejoindre son village. Une fois arrivé, les shamans s’occupèrent de Katarr. Ils sortirent quelques instants après, montrant une expression d’incompréhension, ils s’approchèrent du père, ce dernier n’étant pas du tout rassuré. L’un d’eux prit la parole :
« - Ton fils, c’est vraiment lui qui ta soigner et ta permit de regrimper cette falaise ?
- Douterait-tu de ma parole shaman ?
- Non, évidement, mais ton fils, il va bien, il est juste fatiguer… mais il y a autre chose…
- Quoi ? sa maladie a empiré ?
- Au contraire, elle semble avoir complètement disparue… »
D’abord stupéfait, le guerrier se mit a sourire puis à rire. Annonçant une fête en l’honneur de son fils. Katarr devint pour sa tribu celui qui porte la volonté du feu, le miraculé de Paa’grio.
Prochain chapitre 2 : « Prouver sa foi, le destin de Katarr qui s’embrase ! »