Ma vie aurait pue se résumer a cueillir des herbes pour les chaman de ma tribu, avoir une famille, chasser et vivre en paix.
Mais entre ce que nous voulons et ce que le destin veut de nous... il y a un fossé, un gouffre, qu'il ne vaux mieux pas essayer de franchir en général.
Aujourd'hui je suis mort... enfin j'aurai du être mort. Emprisonner depuis bien des mois pour tout mes crimes et quelques autres petites broutilles annexes n'ayant rien a voire avec moi.
Mais voilà, le bateau qui devait m'amener au bagne et a mon bourreau... a eu un problème d'intempéries, il dérive alors depuis. Les gardes sont morts quand les cages se sont ouvertes, forbans et brigands se jetant a leur gorge, durant ce massacre je suis resté de marbre dans ma cellule, attendant le calme après la tempête.
Je ne suis pas une bestiole comme eux... je suis pire.
Les provisions venaient à manquées, le nombre de forbans diminuait, disparition douteuse, fièvre du marins, dispute, cannibalisme.
Personne ne m'approchait, par peur, je suis un orc robuste, l'avantage avec ceux qui n'ont pas de cervelles, c'est que le muscle fait peur.
Un jour, une terre se montra au loin, mouettes et goéland étant la preuve d'une terre proche. Le bateau percuta un récif, une belle voie d'eau se montra, la terre approchait, même si techniquement c'était le bateau qui avançait.
Je regardait alors les quelques rescapés, leur yeux brillaient des crimes qu'ils pourraient alors recommencer.. viol, meurtre, incendie et autre...
cette idée m'insupporta, j'était un tueur des plus violent, mais toujours pour une cause, non sans raison. Alors un à un , quand les autres ne regardaient pas, je leur montrait les voies de la rédemption de mon peuple, la mort.
La coque gémit alors en raclant le sable, le navire se couchât violemment sur une petite baie.
Finissant d'arriver sur la terre ferme, je marchait dans l'eau, malgré quelques vague, je n'eus aucune difficulté a parvenir a bon port.
Non loin de là , de la fumée s'exprimait, petite fumée de cheminée, j'avais récolté quelques belles réserve d'or sur mes dépouilles. J'allais me remplir la pense de bonne chose...
Arriver à la masure, qui se trouva être une auberge, je me mis a me méfier, je ne suis pas quelqu'un qui passe inaperçue... et les orcs ne sont peut être pas forcement bien vue ici.
Pesant le pour et le contre, j'entrai dans l'auberge, de jolie portrait aux murs, de jolie sommes en dessous, ma tête n'y était pas, après tout j'était censé être mort.
Mon ventre digérais alors ce qu'il avait apprécié quand une main se posa sur mon épaule.
« les monstres comme toi on les brûles ici! »
je me retournait, regardait un homme un peu trop prétentieux a mon goûts, jetant la bourse a l'aubergiste.
« pour le repas... et la casse »
me levant de mon tabouret, je dépassait de loin sa petite taille, en fait tout les humains paraissaient inexistant quand je me levait.
« les monstres comme moi... chasse les proies comme toi, gamine »
vexé il frappa dans mon ventre, un fou rire éclatât de ma gorge, une beigne de ma main.
« Écoute puceau...je suis pas la pour te démolir le facial, tu auras beau sortir une arme que mes paluches auront une plus grande portée, alors dégage... »
il se rua sur moi... la tête la première, il se ramassa le comptoir, ma main lui appuyant la tête dessus.
Il sortie une dague de sa main libre, a peine avait-je le temps de la voire qu'elle se fichait dans mon ventre. Avec ma deuxième main, je sortit la dague de mon ventre, lui remit dans sa main, serrant bien fort sa petite mimine. J'approchai alors sa dague de son autre main, les bruit prouvaient que l'épaule se disloquait dans cette contorsion difficile a supportée, lui fichant sa dague dans son autre main, je lui sussurait a l'oreille
« il y a des jours ou il ferait bon de rester au lit... »
sortant de l'auberge, je me mis en tête qu'il était grand temps de faire peau neuve sur cette terre que je ne connaissait pas.
Je regardait ma blessure, j'avais l'habitude
Après tout je ne suis pas un monstre... je suis pire.